Aussitôt arrivé au pouvoir, le nouveau président de la république démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo n’a pas eu un temps de repos. La grogne des agents de TRANSCO (entreprise de transport publique) à obligé ou permis au locataire du palais du peuple de prendre des mesures urgentes pour décanter la situation, et marquer la rupture dans la manière de gérer le pays. Cette réaction prompte de la présidence de la république à été saluée par l’opinion nationale.

Des réactions en chaîne

Le cas de TRANSCO à inspiré plusieurs autres entreprises étatiques, dont les agents sont impayés depuis des mois. C’est notamment le cas de l’ex ONATRA, la SONAS et selon certaines sources même les agents de l’administration de ville de Kinshasa projeteraient d’aller en grève pour réclamer les arriérés de salaire.

Une situation générale dans le pays

Les cas d’impayements sont monnaie courant sur toute l’étendue de la RDC. en province il y a des entreprises et institutions publiques qui ont des années d’arriérés de salaire.

Doit-on craindre un effet de contagion dans toutes les provinces? La procédure utilisée pour TRANSCO est-elle possible ailleurs? Le nouveau président ne risque t-il pas d’être dépassé par l’ampleur des revendications d’ordre salariales? Tant des questions que l’équipe du chef de l’État devrait se poser.

N.B.M

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